Blogue de résistance féministe
Bonjour, je suis Geneviève Latour, directrice générale de Carrefour pour femmes. Je suis ici à titre personnelle et professionnelle. À titre personnelle, puisque je suis éco-féministe. Je souhaite l’abolition du système économique mondial actuel basé sur l’appropriation et l’exploitation sans limite des femmes, des minorités de genre, des personnes vulnérables et des ressources naturelles. Ce système, qui exacerbe les inégalités entre les riches et les pauvres, entre les genres et entre les peuples, doit sombrer.
Lettre performée par Soraia Maurillo
Le 8 mars 2019
Un peu de mon histoire. J’ai eu mon premier enfant à 17 ans mais je ne savais pas comment j’allais joindre les deux bouts. Je me suis dit ok minute je dois être là pour lui, lui montrer le chemin. J’aime beaucoup prendre soin des gens et le cours d’aide en santé était disponible au collège. D’après eux, le salaire était compétitif. Mais quand j’ai gradué, seul des emplois en soins à domicile étaient disponibles dans mon village. Mais travailler en soutien à domicile – c’est une autre histoire. Pourtant, je me dis, je fais le même travail, j’ai les mêmes qualifications…, pourquoi je n’ai pas le droit au même salaire?
Bonjour,
Je tiens d’abord à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblé.e.s font partie du territoire traditionnel non cédé des Wolastoquiyik et des Mi’kmaqs.
Suggestions d’une féministe néo-brunswickoise, francophone, immigrée, cisgenre et sans droit de vote
1. Tu as le pouvoir d’exprimer ton opinion et d’influencer ton système social, économique et politique. Ton vote peut changer ta vie au quotidien.
Vendredi le 10 novembre, une manifestation a eu lieu devant les bureaux de circonscription du premier ministre Brian Gallant et du ministre de l’Éducation postsecondaire Roger Melanson. Une soixantaine de manifestants, joyeux mélange d’étudiants et d’alliés, a bravé le froid pour s’y rassembler (Radio-Canada).
Fuir loin d’une nuit brutale…
Je ferme les yeux en attendant l’aube...
L’aube de cette ville ne vous tente pas de se réveiller...
tout Pâle... tout froid…
Je ferme mes yeux de nouveau...
Je m’en fuis vers le placard de mes souvenirs…